CONCLUSION.
Le BiEN est la somrae des jouissances
senties par la totalité des êtres conscients; le
Mal est la sorarae de leurs souffrances.
Le hien morcd, reraéde ou palliatif du mal,
a pour fin d'en dirainiierla sorarae, en augraen-
tant celle du bien par une série de sacrifices
des intércts individuels ou spécifiques å l'in-
térct général ou universel. Le iiial moral est ce
qui dirainiie la sorame du bien et augmente
celle du mal, par I'empií^tement des égoîsmes
individuels et spécifiques sur l'intérêt général
ou iiniverscl.
Le BoNHĸuR ABSOLU ou souvERAix Biicx, pour